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Star Wars intégré à des photos anciennes

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Source : Star Wars intégré à des photos anciennes – La boite verte

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Qui est à l’origine du slogan que le monde entier reprend par solidarité ?

media, communication, directeur artistique

Depuis l’attentat de Charlie Hebdo, « Je suis Charlie » est sur toutes les lèvres, sur toutes les photos de profil des réseaux sociaux, les pancartes des rassemblements de solidarité, les unes des journaux et même sur les panneaux d’affichage de certaines villes. Ces trois mots et ce logo sont apparus en ligne immédiatement après l’annonce de l’attaque au siège de Charlie Hebdo.  « Je suis Charlie » est né spontanément sur Twitter Le 7 janvier 2015 de la main d’un directeur artistique…

Une image quand il n’y a pas de mots

L’auteur de la bannière a été identifié par Le Progrès: il se nomme Joachim Roncin et est directeur artistique et journaliste musical pour le magazine Stylist. Il est le premier a avoir publié ce logo sur Twitter mercredi à 11h52, moins d’une heure après la fusillade. Il revendique d’ailleurs la paternité de cette image dans cet échange avec la journaliste Valérie Nataf. « J’ai fait cette image parce-que je n’ai pas de mots », explique Joachim Roncin. « C’est très étrange ce qui est en train de se passer, ça me dépasse totalement », a expliqué le journaliste au Progrès.  « Je n’avais pas beaucoup de mots pour exprimer toute ma peine et j’ai juste eu cette idée de faire ‘Je suis Charlie’ parce que notamment, je lis beaucoup avec mon fils le livre ‘Où est Charlie’, ça m’est venu assez naturellement », a-t-il confié au quotidien. « Ce que je voulais dire, c’est que c’est comme si on m’avait touché moi, je me sens personnellement visé, ça me tue, quoi », a précisé le directeur artistique qui a eu l’idée, tout aussi instinctive, de reprendre la typographie de Charlie Hebdo pour son visuel.

Un slogan devenu mondial

Si Joachim Roncin a répondu aux premières demandes de médias demandant à utiliser son logo, celui-ci a rapidement été débordé par les sollicitations. Et, de partages en partages, son image lui a échappé. Elle est immédiatement devenue le mot-clé #JeSuisCharlie. Un hashtag utilisé plus de 619.000 fois avant 20 heures ce vendredi. Plusieurs pages Facebook « Je suis Charlie » ont été créées dans la foulée. La principale page de soutien en France, relayée par Facebook et réunissant plus de 250.000 personnes, a également repris la formule. « Je suis Charlie » est devenue la phrase de solidarité et d’émotion d’anonymes, de célébrités, de journalistes, de dessinateurs, de politiques de toutes nationalités. Sur le site Internet de Charlie Hebdo, « Je suis Charlie » a remplacé tous les dessins. Et sur la page d’accueil de charliehebdo.fr, on trouve un fichier avec les traductions du slogan dans toutes les langues. Des pancartes prêtes à être imprimer pour les rassemblements du monde entier.

Ma petite contribution au phénomène « Charlie » :

Visuels créés dès le surlendemain des événements, parfois dans le pur esprit d’humour, de liberté et de provocation de Charlie Hebdo.

© Source : huffingtonpost.fr / Visuels : © azerty

Photofunisez-vous !

Un site sympa ou vous personnalisez vos images et/ou textes en 3 clics ! :

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© photofunia.com

Logorama :

Logorama est le premier court métrage d’animation réalisé en 2009 par le studio (français) de graphisme H5. Le film détourne près de 3 000 logos, utilisés pour constituer à la fois les personnages et le décor dans lequel ils évoluent. Le récit met notamment en scène une course-poursuite entre des policiers à l’effigie de Bibendum, figure historique de la marque Michelin et, dans le rôle du gangster, Ronald McDonald, mascotte des restaurants McDonald’s. Dans un Los Angeles entièrement constitué de logos, deux Bibendum policiers engagent une course-poursuite avec Ronald McDonald, un trafiquant d’armes. Lorsque ce dernier a un accident, il blesse un enfant (la mascotte de Haribo) et prend en otage son ami (la mascotte de Big Boy, chaîne de restauration américaine), s’étant évadé d’une visite guidée d’un zoo, guidée par la mascotte de la marque de lessive monsieur Propre. Logorama est sélectionné à la Semaine de la critique au festival de Cannes 2009, au Festival international du film de Stockholm 2009 et au Festival du film de Sundance 2010. Il obtient l’Oscar du meilleur court-métrage d’animation en 2010 et le César du meilleur court-métrage en 2011.

© YouTube / Wikipédia

The Child :

Le studio de graphisme « H5 » est fondé en 1993. Il se spécialise à ses débuts dans la réalisation de projets graphiques puis la direction artistique de labels dans le domaine de la musique électronique (notamment de la french touch). Ce collectif conçoit ses premiers clips en animation à partir de 1994, dont ce « The Child » d’Alex Gopher à base de typographie animée en 3D qui les fait connaître et lance l’activité d’H5 dans la publicité…

© YouTube

 

Typo des villes, typo des champs…

Film d’animation typographique minimaliste à saveur environnementale, réalisé par Olivier Beaudoin, designer graphique, «Diplôme d’Or» – Écodesign 2007 de St-Pétersbourg.

© Youtube

Plonk & Replonk

Plonk-FlouArt

Plonk et Replonk est un collectif d’éditeurs qui a vu le jour en 1995 dans les montagnes du Jura suisse. L’un est Plonk, qui plante le clou. L’autre est Replonk, qui l’enfonce. Nés en 1963 et 1966 au Noirmont, petit village du canton du Jura Suisse,  les deux frères et leur complice (Barcelone, 1963) se sont distingués dès 1997 par des détournements savoureux de cartes postales Belle Époque qui ont fait leur succès. Plonk & Replonk puisent dans leur important fonds d’archives 1900 et conçoivent des photomontages en y intégrant des photographies personnelles, en les colorisant ou en y ajoutant une kitschissime “swiss retouch” de nonsense, notamment dans la légende. Dignes héritiers des Monthy Python ou de Pierre Desproges,  ils jouent avec les poncifs, taquinent la société et s’amusent de tout avec une fantaisie irrésistible.

© wikipédia / Plonk & Replonk

La guerre des étoiles : épisode zéro

© azerty / FXguru

Pixels :

Court-métrage créé en 2010 et dirigé par le réalisateur français Patrick JEAN, « Pixel » dépeint l’invasion de New York par des jeux vidéo classiques en 8-bit, tels que Space Invaders, Pac-Man, Tetris, Arkanoid, et autres. De multiples logos de compagnies de l’époque apparaissent sur des publicités : Commodore Business Machines et Psygnosis aux entrées de métro, et Atari sur un gratte-ciel. « Pixel » a reçu le Cristal du meilleur court-métrage d’animation lors du festival d’Annecy 2011.

© Wikipédia / dailymotion

 

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